Le supermarché du bonheur avec un merveilleux clip de "Michael Buble" et le supermarché de l'horreur avec le trailer de l'excellent film "The Mist" du Stephankingien "JamesBaramont".
Pedro Almodóvar, évoquant dans une interview la difficulté de trouver l'acteur principal pour « La Mauvaise Éducation ». dans Fotogramas Magazine en mars 2004. "Eduardo Noriega avait un très beau visage, mais il semblait trop masculin. L'avantage de Gael (García Bernal) est qu'en plus d'être beau, il est aussi petit. Gael est l'une des personnes les plus photogéniques que je connaisse. J'ai étudié son visage dans les moindres détails et j'ai découvert qu'il avait un côté plus rude et un autre plus féminin, selon l'angle d'approche. Et cette asymétrie fonctionnait bien avec son personnage d'homme femme". Henri Mesquida pour le groupe Facebook "cinema et littérature gay"
je vous propose cet article qui fait suite à l'entrevue littéraire que Lucien Fradin a eu la gentillesse de m'accorder. Sous la direction de Didier Roth-Bettoni, Les Editions érotiques La Musardine ont lancé fin 2024 avec le second roman de l’artiste lillois, la nouvelle collection littéraire « Prismes » chez la Musardine, qui invite à explorer les sexualités LGBTQI dans toutes leurs diversités. Lucien Frandin est né en 1988 et vit à Lille. Pendant son Master des Arts de la scène, il consacre ses recherches au lien entre les sexualités et les représentations, et mène des ateliers dans des universités, tout en militant avec l’asso LGBTQI+ de Lille, Les Flamands Roses. Puis il devient comédien et metteur en scène : accompagné de 2016 à 2018 par Guy Alloucherie et la Cie HVDZ, il crée deux solos autofictifs qui convoquent la communauté queer et sa famille de naissance : Eperlecques (présenté au festival off d’Avignon) sur son vécu adolescent à la campagne et Wulverdinghe sur sa...
Le film suit Lee Fletcher, un beau garçon au grand cœur, champion de lutte au lycée, qui une reste pas insensible aux avances pourtant très douces d’un d'un de ses camarades lycéen, Kyle homosexuel déclaré qui est amoureux de lui. Le jeune homme, élevé par des parents homophobes (un père fanatiques et chrétien fondamentaliste et une mère hystérique et dévote, semble tout droit sortie de « Carrie »), pour qui l’homosexualité est l’horreur suprême, tente de refouler son ressenti. Néanmoins, son béguin semble être la cause de l’apparition d’ une créature cauchemardesque qui le hante et menace de s’en prendre physiquement à lui. Les parents le livrent (avec son consentement ) à un prédicateur qu’ils admirent, étrangement crédible et inquiétant pour qu’il le guérisse. Cet homme homme dément leur assure que l’homosexualité n’existe pas mais est l’œuvre de créatures maléfiques, les Ganymèdes, et décide de guérir Lee à coup de prières, de sermons et d’électrochocs pratiqué...dans son burea...
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