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Affichage des articles du décembre, 2011

Les clips les plus sexy gays selon saint "têtu".

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Jaime Bayly :Les Derniers Tours de "La Prensa "

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L'alterego De Jaime Bayly, tout juste sorti de l'école a quinze ans, et grâce à l'aide d'amis de sa famille, rentre comme garçon à tout faire 0 la Prensa(La Presse), journal important de droite de Lima.Il va peu à peu connaître le métier de journaliste.Bouquin inoubliable ,très drôle ,avec une façon bien particulière de montrer le pérou de Lima des années 70. C'est une chronique satirique et burlesque du journalisme à la papa vu par le regard d'un adolescent qui fait dans cet environnement sordide et loufoque, son apprentissage de la vie e tson initiation à l'amour; L'écriture est extrêmement drôle et les situations cocasses font de ce bouquin un grand moment de bonne humeur littéraire

Mike Nietomertz Des Chiens roman gay

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Ce roman est court mais c'est un concentré d'émotions fortes; Parfaitement à l'aise dans un style parlé bien adapté à la situation, Mike Nietomertz et ces trois personnages (dont un semble quelque peu autobiographique), sont tour à tour drôles, profonds, attendrissants et bouleversants. Ce que je préfère c'est la haute teneur de leur propos ,qui tout en étant percutants et réalistes ne parlent jamais pour ne rien dire (comme c'est si souvent le cas dans les romans nombrilistes français). Un roman de très bonne facture. Des Chiens de Mike Nietomertz est le roman d'une jeunesse happée par la vie, qui se débat avec ses fantasmes d'amour et ses rêves de gloire avec une vérité troublante, mais c'est aussi le roman du rappel brutal de la vie qui n'oublie jamais ses âmes perdues. "Des Chiens" est un instant de trois vies saisies sur le vif qui vous émouvra pour la tendresse et la violence qui s'en dégagent, pour les espoirs et la tristesse

Serge Kandrashov Mes vacances de printemps

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J'ai la chance d'avoir rencontré Serge il y a deux ans pendant l'excellent "Dunas festival" de Maspalomas à Gran Canari Que je conseille à tout amateur de littérature gay,de soleil et d'amitiés.Il nous avez alors présenté son premier livre : Le bois de Boulogne qui devrait être une trilogie (et c'est tant mieux). J'ai eu personnellement la joie d'être initié par Serge au baiser à la russe. Moment tout à fait inoubliable,comme du reste l'ensemble de la semaine que nous avons passé au Dunas Festival. Ce livre est tout à fait savoureux. Comme j'ai trouvé des critiques convaincantes je ne m'attarderai que sur quelques remarques personnelles. Dans son premier livre Serge nous parle de la France, pays d'adoption avec l'âme d'un slave, assez différente de l'opinion que nous avons nous même de l'homosexualité à l'occidentale qui peut paraître étonnante mais qui apporte une version intéressante de notre propre condition.

P.P HARNRTT romangay

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Un excellent roman gay; l'érotisme des corps des nageurs est décrite avec une aisance aussi belle que jubilatoire par l'auteur qui s'y connait puisque capitaine d'une équipe de natation londonienne; rarement l'érotisme des corps aura été aussi bien décrite ,alors qu'il n'y'a en tout est pour tout qu'une scène de baiser dans tout le livre; la fin désabusé n'enlève rien a la qualité de l'ensemble. . C'et aussi une oeuvre inqiétante,fascinante, magistralement construite, une analyse très réusie de la sexualité naissante . Comme auteur, Hartnett est sans doute l'un des écrivains les plus intéressants et électriques du moment L'auteur ,de parents Irlandais est né à l'ouest de Londres . Élevé dans une école catholique par des moines benedictins il fût enfant de coeur, préfet et capitaine de natation. Pendant sa jeunesse, il participa à de nombreuses compétitions de niveau international Il est aussi l'un des photographes de pre

Kenn nunn Tijuana straits polar

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Les Tijuana Straits, ce sont ces courants violents qui naissent dans la baie de Tijuana, à l’embouchure de la rivière du même nom. Ils modèlent les bancs de sable auxquels la houle vient se heurter pour former les vagues que les surfeurs les plus courageux peuvent venir chevaucher. Les plus courageux, parce que l’eau ici est polluée à tel point qu’elle peut en venir à tuer. C’est là que passe la frontière entre les États-Unis et le Mexique. Et c’est là aussi, dans la Tijuana river, que viennent échouer les produits chimiques des maquiladoras qui tuent les ouvriers mexicains avant de tuer la terre aux États-Unis et de pourrir enfin l’océan. Ce sont aussi ces courants qui tuent chaque année des dizaines ou des centaines de candidats à l’émigration qui tentent leur chance pour rejoindre l’american dream. Un roman au souffle incomparable, à la noirceur profonde, à la beauté vénéneuse. Une fois encore les descriptions sont splendides, y compris celles des pires cloaques, et les person