Patricia Cornwell vent de glace

Vent de glace par Cornwell


Une éminente paléontologue disparaît d'un site de fouilles renfermant des ossements de dinosaures au fin fond du Canada. Un message macabre parvient à Kay Scarpetta, lui laissant la détestable impression qu'il pourrait correspondre à cette disparition. Quand elle est appelée peu après à repêcher dans le port de Boston un cadavre de femme, les événements s'enchaînent. Kay Scarpetta se retrouve face à un tueur en série fort intelligent et n'ayant aucune crainte d'être arrêté. Comme les indices semblent établir un lien avec d'autres affaires non résolues, les sciences médico-légales les plus pointues sont sollicitées. La chasse du coupable commence dans la ville de Boston prise sous un vent de glace.

Un vent apocalyptique souffle dans les romans de Patricia Cornwell, qui nous raconte à sa façon l'éternel combat du bien et du mal. Kay Scarpetta, la plus célèbre légiste de la planète, a choisi de mener cette lutte dans un laboratoire, plus précisément sur une table d'autopsie. C'est un scalpel à la main, avec pour toute arme son savoir scientifique, qu'elle s'attaque à un tueur en série aussi abject que sûr de son impunité. Il a tué, entre autres, une paléontologue sur un cimetière de dinosaures au Canada, puis balancé le corps congelé d'une autre femme dans le port de Boston. Tandis que l'hiver sévit sur l'Amérique du Nord, la liste menace de s'allonger...




j'ai bien aimé ce vingtième épisode qui se déroule sur deux jours. l'histoire d'un enlèvement, d'un crime laissant présager d'autres crimes...et Scarpetta résolvant son affaire en faisant ce qu'elle fait de mieux , étudier-les cadavres. je sais que beaucoup trouvent ces pages fastidieuses pas moi je trouve se travaille d'expert fascinant même sur cinquante pages. Les scènes sont longues , ambitieuses (le repêchage de la tortue et du cadavre, la scène du procès,... ici seule la résolution m'a paru un peu facile car elle est du au passage à l'attaque de l'assassin ce qui me fait penser que malgré tout Ni Scarpetta, ni le F.B .I n'aurait trouvé l'assassin par eux mêmes. Intrigue resserré, et que Cornwell n'étire pas inutilement 350 pages c'est bien assez.

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