Stephen King joyland

Amis lecteurs,si vous ne savez pas quoi faire de votre week-end, préparez quelques dollars pour payer votre billet d'entrée au paradis. Si vous êtes à la recherche du bonheur, vous toucherez les cieux en embarquant à bord de la Carolina Spin, frôlerez la crise cardiaque dans les nacelles du Thunderball et si vous préférez garder les pieds sur terre pour quoi ne pas tenter le frisson ultime dans la Maison de l'horreur? Avec un peu de chance vous pourrez y voir le fantôme de Linda Gray. Pour ceux que rien de tout ça n'intéresse, il vous sera toujours possible de vous essayer au tir à la carabine ou flâner dans les longues allées éclairées de néon en dégustant un succulent Hot Howie... Vous allez pénétrer dans un autre monde, dans un endroit ou il vous sera permis de rêver et de retrouver votre âme d'enfant à tel point qu'une seule visite ne vous suffira pas à en percer tous les secrets...
Que ce soit pour le pire comme pour le meilleur, permettez-moi de vous souhaiter la bienvenue à Joyland mes amis et il y a fort à parier que vous ne sortirez pas indemne de votre visite dans ce parc d'attraction d'Heaven's Bay en Caroline du Nord. Si le grand King a eu une année littéraire assez prolifique, c'est sur son dernier opus que j'ai jeté mon dévolu et je dois dire qu'il a su retourner dans tous les sens mon petit cœur d'artichaut. Point d'horreur dans Joyland, cette fois-ci, le maître nous a offert un soupçon de fantastique, une petite intrigue policière sympa mais surtout la tranche de vie d'un jeune homme de 21 ans qui connaîtra en 1973 le plus bel été de sa vie en tant qu'employé à Joyland.
Cette lecture a été un véritable coup de cœur que j'admire depuis mon adolescence. Ce mec est un véritable artiste, il sait jouer avec mes émotions et rallumer la petite flamme endormie au fond de mon cœur en nous offrant la vie, telle qu'elle est, telle qu'on pourrait la vivre avec ses hauts et ses bas, ses joies et ses souffrances, ses souvenirs qui nous changent et nous marquent à jamais pour faire de nous les personnes que nous sommes. Entre sourires et larmes, j'ai dévoré Joyland en deux jours, happé par son intrigue et ses forains attachants qui ont rempli leur mission car la "plouc" que je suis à refermé le livre avec des étoiles dans les yeux. Une fois les néons éteints et le spectacle terminé, la magie continue d'opérer pour mon plus grand bonheur de lecteuLes clowns vous ont toujours fait un peu peurL’atmosphère des fêtes foraines vous angoisse?Alors, un petit conseil: ne vous aventurez pas sur une grande roue un soir d’orage . Après une rupture sentimentale, Devin Jones, 21 ans, débarque l’été 1973 à Joyland, petit parc d’attraction sur le littoral de la Caroline du Nord. Il est embauché avec d’autres étudiants pour compléter l’équipe de forains, à la fois étrange et joyeuse. Sa rencontre avec un petit garçon doué de voyance, atteint d’une maladie grave, et surtout de sa mère, va changer la vie de Devin. Obsédé par le mystère du train fantôme soi-disant hanté par le spectre d’une femme égorgée 4 ans auparavant, le jeune homme se lance dans l’enquête. Un nouveau meurtre est-il possible? Parviendra-t-il à l’éviter? Une chose est sûre, l’aventure le changera à jamais.grave, et surtout de sa mère, va changer la vie de Devin. Obsédé par le mystère du train fantôme soi- soi-disant hanté par le spectre d’une femme égorgée 4 ans auparavant, le jeune homme se lance dans l’enquête. Un nouveau meurtre est-il possible? Parviendra-t-il à l’éviter? Une chose est sûre, l’aventure le changera à jamais.disant hanté par le spectre d’une femme égorgée 4 ans auparavant, le jeune homme se lance dans l’enquête. Un nouveau meurtre est-il possible? Parviendra-t-il à l’éviter? Une chose est sûre, l’aventure le changera à jamais

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