Roberto Carboni : Il segreto dell'antiquario
Vient de finir : "Il segretto de'll antiquario" de Roberto Carboni : 8/10
Pendant mon séjour récent à Nice je suis aller passer en famille une journée en Italie et c'est à Imperia que je n'est pas pu résister à l'appel d'une librairie. Je me suis donc offert un Giallo italien . Mon niveau d'Italien a été suffisant pour le lire sans problème (ça m'a fait plaisir).
Alors bien que cet auteur ne soit apparemment pas traduit en français je vous dit ce que je pense de son roman policier : "le titre français serait: "le secret de l'antiquaire".
L'histoire :
Il ressemble à un homme ordinaire. Il s'agit en fait d'un tueur en série. Les années quatre-vingt. Elia Morosini Arconati est un ancien musicien et chef d'orchestre. Après des années de grand succès, une forme sévère de schizophrénie l'oblige à prendre sa retraite et il vit désormais à Bologne, où il tient une boutique d'antiquités. Mais ce n'est qu'une façade. En fait, Elia est un tueur en série. Une fois ses victimes identifiées, il s'insinue de plus en plus dans leur vie, venant s'installer secrètement chez elles puis - lorsqu'il ne supporte plus la tension provoquée par ce "jeu" - les tue. Et reprends ensuite son existence normale. Jusqu'à ce qu'un nouvel élan irrépressible le pousse à recommencer. Dans la ville, ces meurtres sont attribués au "Monstre de Bologne", sur la piste duquel des magistrats, des détectives privés et, surtout, une médium, Madame Thérèse, se lancent.
Voilà un thriller de classe, où, grâce aux événements et aux ambiances, la tension perdure sans forcer du début à la fin ,imprévisible. Carboni ne laisse rien au hasard, dans ce roman : On se retrouve comme plongés à l'intérieur de son histoire que l'on vit à trois cent soixante degrés. On entends les bruits et les odeurs de sang : on est comme des témoins que l'on ne voudrait pas être .
Les pages de ce roman entraînent le lecteur dans l'esprit d'un meurtrier, à travers les méandres du mal, l'aspirant dans une histoire troublante sans rédemption.
Pendant mon séjour récent à Nice je suis aller passer en famille une journée en Italie et c'est à Imperia que je n'est pas pu résister à l'appel d'une librairie. Je me suis donc offert un Giallo italien . Mon niveau d'Italien a été suffisant pour le lire sans problème (ça m'a fait plaisir).
Alors bien que cet auteur ne soit apparemment pas traduit en français je vous dit ce que je pense de son roman policier : "le titre français serait: "le secret de l'antiquaire".
L'histoire :
Il ressemble à un homme ordinaire. Il s'agit en fait d'un tueur en série. Les années quatre-vingt. Elia Morosini Arconati est un ancien musicien et chef d'orchestre. Après des années de grand succès, une forme sévère de schizophrénie l'oblige à prendre sa retraite et il vit désormais à Bologne, où il tient une boutique d'antiquités. Mais ce n'est qu'une façade. En fait, Elia est un tueur en série. Une fois ses victimes identifiées, il s'insinue de plus en plus dans leur vie, venant s'installer secrètement chez elles puis - lorsqu'il ne supporte plus la tension provoquée par ce "jeu" - les tue. Et reprends ensuite son existence normale. Jusqu'à ce qu'un nouvel élan irrépressible le pousse à recommencer. Dans la ville, ces meurtres sont attribués au "Monstre de Bologne", sur la piste duquel des magistrats, des détectives privés et, surtout, une médium, Madame Thérèse, se lancent.
Voilà un thriller de classe, où, grâce aux événements et aux ambiances, la tension perdure sans forcer du début à la fin ,imprévisible. Carboni ne laisse rien au hasard, dans ce roman : On se retrouve comme plongés à l'intérieur de son histoire que l'on vit à trois cent soixante degrés. On entends les bruits et les odeurs de sang : on est comme des témoins que l'on ne voudrait pas être .
Les pages de ce roman entraînent le lecteur dans l'esprit d'un meurtrier, à travers les méandres du mal, l'aspirant dans une histoire troublante sans rédemption.
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