"la Cité de la nuit" de "John Rechy" son premier roman est paru en 1963. Roman autobiographique le livre nous plonge dans la vie quotidienne d'un tapin homosexuel à travers son errance américaine, New York, Chicago, Los Angeles, San Francisco, La Nouvelle Orleans etc. Ici, nous ne côtoyons que michés, tapins, travestis, tapettes, hommes femmes, femmes hommes, perversions. "Plus tard je devais penser à l'Amérique comme à une immense Cité de la Nuit étalant sa kermesse criarde de Times Square à Hollywood Boulevard appel de juke-boxes, gémissements du rock-n-roll : l'Amérique nocturne dont les villes-noires se fondent dans la forme inévitable de la solitude. Souvenir de Pershing Square et de ses palmiers apathiques. Central Park et ses ombres frénétiques. Cinémas aux heures moroses du matin. Rues éventrées de Chicago... " Ici, nous ne côtoyons que michés, tapins, travestis, tapettes, hommes femmes, femmes hommes, perversions. Très bien écrit,
Les dessins digitaux que je reproduit ici, appartiennent à la dénomé ecole Lonsam Studio qui est un groupe d'artistes japonais composé par Lonsam, Kimon Tatsukichi, Senju Kazuhira y quelques autres . une bonne dose d'érotisme, des scènes de sexe, mais dans la tradition de la culture japonaise.
Après 13 ans de silence littéraire Ellis revient à son meilleur dépassant son "Glamorama" qui était jusque là son roman le plus aboutit. Los Angeles, 1981. Bret Ellis , dix-sept ans, plongé dans l'écriture de Moins que zéro, entre en terminale au lycée privé de Buckley. Avec Thom, Susan et Debbie, sa petite amie, il expérimente les rites de passage à l'âge adulte : alcool, drogue, sexe et jeux de dupes. L'arrivée d'un nouvel élève fait voler leurs mensonges en éclats. Beau, charismatique, Robert Mallory a un secret. Et ce secret pourrait le lier au Trawler, un tueur en série qui sévit dans les parages. Terrorisé par toutes sortes d'obsessions, Bret se met à suivre Robert. Mais peut-il se fier à son imagination paranoïaque pour affronter un danger menaçant ses amis et lui-même? Il est impossible de distinguer ce qui est réalité et ce qui est fiction dans ce "Lés éclats". Ellis le présente en interview comme sa vrai histoire. En effet, certaines
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