Orhan Pamuk : Le Château blanc Poche


                                  




J'ai voulu m’intéresser à ce prix Nobel parce que je suis assez attiré par les histoires ayant lieu dans l'empire ottoman . En plus le thème du double m'intrigue ( surtout dans la littérature de Borges) Hélas ici on est dans le compte philosophique qui n'aboutit à rien ou alors à une évidence plate (l'épouvantable Alchimiste de Cohello),ici je dirai à une pirouette finale aussi creuse qu'inutile .Rien n'a arrêté l'ennui de cette lecture et le regret d'y avoir perdu 6 heures de mon temps.
L'auteur le dit si bien lui même au chapitre XI :
"Mes lecteurs les plus intelligents ont déjà abandonné la lecture de mon livre"....
Je dois me situer dans cette catégorie
Histoire insipide, avec de nombreuses répétitions,.....
C'est peut être un problème de civilisation?
Comment ce livre a t il pu obtenir un prix?
Je ne le recommande à personne. Pourquoi perdre son temps en se lançant dans sa lecture pour s’arrêter aux premiers chapitres?

Le narrateur est un Italien de vingt ans, féru d'astronomie et de mathématiques. Capturé par des marins turcs et jeté dans la prison d'Istanbul, il se dit médecin, et est offert comme esclave à un hodja, un savant. Le maître oriental et l'esclave occidental se ressemblent de manière effrayante, éprouvent une méfiance immédiate l'un pour l'autre. Mais ils ne se séparent pas, vivent ensemble, travaillent ensemble, quotidiennement, d'abord sur la pyrotechnie, ensuite sur une horloge, enfin sur une redoutable machine de guerre pour Mehmet IV, dit le Chasseur, sultan de 1648 à 1687. Ensemble encore, ils contribuent à l'éradication d'une épidémie de peste. Tantôt dominant, tantôt dominé, des années durant, chacun raconte sa vie à l'autre. Puis les deux doubles doivent s'engager, avec leur machine de guerre, dans la désastreuse campagne polonaise. Mise à l'essai sur un château blanc, la machine ne fonctionne pas. Craignant pour sa vie, le Maître usurpe l'identité, la personnalité et le passé du narrateur. Celui-ci reste à Istanbul, devient le Maître. Des années plus tard, il entend parler de l'Autre, comme d'un ancien esclave capturé par des marins turcs, et qui s'est évadé...

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