Robert McCammon : le mystère du lac



Bram Stoker - Meilleur roman - 1991

Ce que le petit Cory a vu ce matin froid de printemps, au fin fond de l’alabama, jamais il ne pourra l’oublier : une voiture folle, surgie de nulle part, s’enfonçant dans les profondeurs du lac, un inconnu attaché au volant par des menottes.
il luttera de toutes ses forces d’enfant pour découvrir la vérité et conjurer les puissances démoniaques que le mystère du lac a libérées. une étrange prêtresse noire, centenaire, tentera de le guider… À la lisière du fantastique et du merveilleux, dans le décor mythique du sud profond, Le Mystère du lac évoque, au long d’un périlleux parcours initiatique, les sortilèges d’un pays à jamais disparu : celui de l’enfance.Ce récit magnifiquement conté réunit les sensibilités de Mark Twain, Flannery O’Connor et Steven Spielberg.
"Le talent de McCammon est de savoir fondre intimement surnaturel et monde réel." Newsday.

"Un roman noir mâtiné discrètement de sorcellerie et de fantastique. Un portrait d'un petit coin des States, dans les années 60. Un jeune garçon, témoin de la vie de ses contemporains, qu'un meurtre poursuivra longtemps…
Car il a vu son père plonger dans les eaux glacées du lac pour tenter de sauver le conducteur d'une voiture folle. Son père a risqué sa vie, il sait que ce n'est pas un accident, et le mort au volant l'appellera longtemps dans ses cauchemars.
Le titre français du roman est un peu trompeur car l'histoire ne tourne pas essentiellement autour de cette disparition.
C'est avant tout le parcours initiatique de Cory, une jeune adolescent blanc habitant une petite ville où la communauté noire est importante, au sud des États Unis, à Zephyr, Alabama.
Nous sommes donc dans les années 60, pendant lesquelles sévit une forte ségrégation raciale et sociale: le racisme et la peur de la différence sont très présents.
Cory est témoin de la distance, de la méfiance, de l'hostilité voire parfois la haine, installées entre deux couleurs de peau.
C'est une critique sociale qui surnage lors de l'inondation du quartier noir, quand on sent les réticences des uns alors que les autres n'hésitent pas à apporter leur aide. C'est une réflexion sur l'humain en prise à des blocages culturels, ethniques et historiques, et dont l'évolution positive est très lente.
C'est également une période où l'Église utilise sa grande influence pour diriger ses ouailles, leur dicter leur conduite, leur manière de vivre, de penser, au travers de sermons fanatiques et enlevés. J'ai adoré les scènes religieuses avec la folie du pasteur – DJ diabolique sur danse de singe, ou encore l'attaque des guêpes… L'auteur glisse ainsi subtilement une vision satirique de la religion qui apporte une note humoristique très sympathique!
Les années 60 marquent également des progrès dans la distribution commerciale qui entraîne la mort des petits métiers. Cody le subit de plein fouet avec sa famille: l'argent ne tombe pas du ciel, on ne choisit pas son métier par rêve mais pour nourrir ses proches. Son père en fait les frais, encore plus durement depuis qu'il est devenu l'ombre de lui-même.
Il règne une brume de mystère mystique au dessus de ce lac… Son père en rêve, Cory voit des silhouettes, entend des appels de défunts, tout comme la Dame, une vieille femme noire, un peu sorcière qui jouera un rôle important dans la vie de Cory, notamment en lui offrant son fidèle compagnon, ce fameux vélo magique…
Cody est un témoin. Il est jeune. Il est curieux. Il est acteur aussi, parfois victime. Il fait l'apprentissage de sa future vie d'adulte quand ses amis et lui sont en butte à la violence du plus fort que soi. Il assiste, impuissant, à la déchéance de son père, hanté par l'incident du lac. Il se questionne énormément, sur lui, ses copains, sa famille et le monde dans lequel il vit. Il adore écrire, il veut devenir écrivain d'ailleurs. C'est un personnage attachant qui nous ouvre les portes de son monde, qui est le trait d'union entre nous et ce microcosme hors de notre temps.
Le mystère du lac est une ode à l'enfance et à toutes ses découvertes, un roman noir entouré d'une aura de nostalgie, tout en émotions, mais pas tout en douceur.Un roman noir mâtiné discrètement de sorcellerie et de fantastique. Un portrait d'un petit coin des States, dans les années 60. Un jeune garçon, témoin de la vie de ses contemporains, qu'un meurtre poursuivra longtemps…Car il a vu son père plonger dans les eaux glacées du lac pour tenter de sauver le conducteur d'une voiture folle. Son père a risqué sa vie, il sait que ce n'est pas un accident, et le mort au volant l'appellera longtemps dans ses cauchemars.
Le titre français du roman est un peu trompeur car l'histoire ne tourne pas essentiellement autour de cette disparition.
C'est avant tout le parcours initiatique de Cory, une jeune adolescent blanc habitant une petite ville où la communauté noire est importante, au sud des États Unis, à Zephyr, Alabama.
Nous sommes donc dans les années 60, pendant lesquelles sévit une forte ségrégation raciale et sociale: le racisme et la peur de la différence sont très présents.
Cory est témoin de la distance, de la méfiance, de l'hostilité voire parfois la haine, installées entre deux couleurs de peau.
C'est une critique sociale qui surnage lors de l'inondation du quartier noir, quand on sent les réticences des uns alors que les autres n'hésitent pas à apporter leur aide. C'est une réflexion sur l'humain en prise à des blocages culturels, ethniques et historiques, et dont l'évolution positive est très lente.
C'est également une période où l'Église utilise sa grande influence pour diriger ses ouailles, leur dicter leur conduite, leur manière de vivre, de penser, au travers de sermons fanatiques et enlevés. J'ai adoré les scènes religieuses avec la folie du pasteur – DJ diabolique sur danse de singe, ou encore l'attaque des guêpes… L'auteur glisse ainsi subtilement une vision satirique de la religion qui apporte une note humoristique très sympathique!
Les années 60 marquent également des progrès dans la distribution commerciale qui entraîne la mort des petits métiers. Cody le subit de plein fouet avec sa famille: l'argent ne tombe pas du ciel, on ne choisit pas son métier par rêve mais pour nourrir ses proches. Son père en fait les frais, encore plus durement depuis qu'il est devenu l'ombre de lui-même.
Il règne une brume de mystère mystique au dessus de ce lac… Son père en rêve, Cory voit des silhouettes, entend des appels de défunts, tout comme la Dame, une vieille femme noire, un peu sorcière qui jouera un rôle important dans la vie de Cory, notamment en lui offrant son fidèle compagnon, ce fameux vélo magique…
Cody est un témoin. Il est jeune. Il est curieux. Il est acteur aussi, parfois victime. Il fait l'apprentissage de sa future vie d'adulte quand ses amis et lui sont en butte à la violence du plus fort que soi. Il assiste, impuissant, à la déchéance de son père, hanté par l'incident du lac. Il se questionne énormément, sur lui, ses copains, sa famille et le monde dans lequel il vit. Il adore écrire, il veut devenir écrivain d'ailleurs. C'est un personnage attachant qui nous ouvre les portes de son monde, qui est le trait d'union entre nous et ce microcosme hors de notre temps.
Le mystère du lac est une ode à l'enfance et à toutes ses découvertes, un roman noir entouré d'une aura de nostalgie, tout en émotions, mais pas tout en douceur.Un roman noir mâtiné discrètement de sorcellerie et de fantastique. Un portrait d'un petit coin des States, dans les années 60. Un jeune garçon, témoin de la vie de ses contemporains, qu'un meurtre poursuivra longtemps…
Car il a vu son père plonger dans les eaux glacées du lac pour tenter de sauver le conducteur d'une voiture folle. Son père a risqué sa vie, il sait que ce n'est pas un accident, et le mort au volant l'appellera longtemps dans ses cauchemars.
Le titre français du roman est un peu trompeur car l'histoire ne tourne pas essentiellement autour de cette disparition.
C'est avant tout le parcours initiatique de Cory, une jeune adolescent blanc habitant une petite ville où la communauté noire est importante, au sud des États Unis, à Zephyr, Alabama.
Nous sommes donc dans les années 60, pendant lesquelles sévit une forte ségrégation raciale et sociale: le racisme et la peur de la différence sont très présents.
Cory est témoin de la distance, de la méfiance, de l'hostilité voire parfois la haine, installées entre deux couleurs de peau.
C'est une critique sociale qui surnage lors de l'inondation du quartier noir, quand on sent les réticences des uns alors que les autres n'hésitent pas à apporter leur aide. C'est une réflexion sur l'humain en prise à des blocages culturels, ethniques et historiques, et dont l'évolution positive est très lente.
C'est également une période où l'Église utilise sa grande influence pour diriger ses ouailles, leur dicter leur conduite, leur manière de vivre, de penser, au travers de sermons fanatiques et enlevés. J'ai adoré les scènes religieuses avec la folie du pasteur – DJ diabolique sur danse de singe, ou encore l'attaque des guêpes… L'auteur glisse ainsi subtilement une vision satirique de la religion qui apporte une note humoristique très sympathique!
Les années 60 marquent également des progrès dans la distribution commerciale qui entraîne la mort des petits métiers. Cody le subit de plein fouet avec sa famille: l'argent ne tombe pas du ciel, on ne choisit pas son métier par rêve mais pour nourrir ses proches. Son père en fait les frais, encore plus durement depuis qu'il est devenu l'ombre de lui-même.
Il règne une brume de mystère mystique au dessus de ce lac… Son père en rêve, Cory voit des silhouettes, entend des appels de défunts, tout comme la Dame, une vieille femme noire, un peu sorcière qui jouera un rôle important dans la vie de Cory, notamment en lui offrant son fidèle compagnon, ce fameux vélo magique…
Cody est un témoin. Il est jeune. Il est curieux. Il est acteur aussi, parfois victime. Il fait l'apprentissage de sa future vie d'adulte quand ses amis et lui sont en butte à la violence du plus fort que soi. Il assiste, impuissant, à la déchéance de son père, hanté par l'incident du lac. Il se questionne énormément, sur lui, ses copains, sa famille et le monde dans lequel il vit. Il adore écrire, il veut devenir écrivain d'ailleurs. C'est un personnage attachant qui nous ouvre les portes de son monde, qui est le trait d'union entre nous et ce microcosme hors de notre temps.
Le mystère du lac est une ode à l'enfance et à toutes ses découvertes, un roman noir entouré d'une aura de nostalgie, tout en émotions, mais pas tout en douceur.Un roman noir mâtiné discrètement de sorcellerie et de fantastique. Un portrait d'un petit coin des States, dans les années 60. Un jeune garçon, témoin de la vie de ses contemporains, qu'un meurtre poursuivra longtemps…
Car il a vu son père plonger dans les eaux glacées du lac pour tenter de sauver le conducteur d'une voiture folle. Son père a risqué sa vie, il sait que ce n'est pas un accident, et le mort au volant l'appellera longtemps dans ses cauchemars.
Le titre français du roman est un peu trompeur car l'histoire ne tourne pas essentiellement autour de cette disparition.
C'est avant tout le parcours initiatique de Cory, une jeune adolescent blanc habitant une petite ville où la communauté noire est importante, au sud des États Unis, à Zephyr, Alabama.
Nous sommes donc dans les années 60, pendant lesquelles sévit une forte ségrégation raciale et sociale: le racisme et la peur de la différence sont très présents.
Cory est témoin de la distance, de la méfiance, de l'hostilité voire parfois la haine, installées entre deux couleurs deUn roman noir mâtiné discrètement de sorcellerie et de fantastique. Un portrait d'un petit coin des States, dans les années 60. Un jeune garçon, témoin de la vie de ses contemporains, qu'un meurtre poursuivra longtemps…
Car il a vu son père plonger dans les eaux glacées du lac pour tenter de sauver le conducteur d'une voiture folle. Son père a risqué sa vie, il sait que ce n'est pas un accident, et le mort au volant l'appellera longtemps dans ses cauchemars.
Le titre français du roman est un peu trompeur car l'histoire ne tourne pas essentiellement autour de cette disparition.
C'est avant tout le parcours initiatique de Cory, une jeune adolescent blanc habitant une petite ville où la communauté noire est importante, au sud des États Unis, à Zephyr, Alabama.
Nous sommes donc dans les années 60, pendant lesquelles sévit une forte ségrégation raciale et sociale: le racisme et la peur de la différence sont très présents.
Cory est témoin de la distance, de la méfiance, de l'hostilité voire parfois la haine, installées entre deux couleurs de peau.
C'est une critique sociale qui surnage lors de l'inondation du quartier noir, quand on sent les réticences des uns alors que les autres n'hésitent pas à apporter leur aide. C'est une réflexion sur l'humain en prise à des blocages culturels, ethniques et historiques, et dont l'évolution positive est très lente.
C'est également une période où l'Église utilise sa grande influence pour diriger ses ouailles, leur dicter leur conduite, leur manière de vivre, de penser, au travers de sermons fanatiques et enlevés. J'ai adoré les scènes religieuses avec la folie du pasteur – DJ diabolique sur danse de singe, ou encore l'attaque des guêpes… L'auteur glisse ainsi subtilement une vision satirique de la religion qui apporte une note humoristique très sympathique!
Les années 60 marquent également des progrès dans la distribution commerciale qui entraîne la mort des petits métiers. Cody le subit de plein fouet avec sa famille: l'argent ne tombe pas du ciel, on ne choisit pas son métier par rêve mais pour nourrir ses proches. Son père en fait les frais, encore plus durement depuis qu'il est devenu l'ombre de lui-même.
Il règne une brume de mystère mystique au dessus de ce lac… Son père en rêve, Cory voit des silhouettes, entend des appels de défunts, tout comme la Dame, une vieille femme noire, un peu sorcière qui jouera un rôle important dans la vie de Cory, notamment en lui offrant son fidèle compagnon, ce fameux vélo magique…
Cody est un témoin. Il est jeune. Il est curieux. Il est acteur aussi, parfois victime. Il fait l'apprentissage de sa future vie d'adulte quand ses amis et lui sont en butte à la violence du plus fort que soi. Il assiste, impuissant, à la déchéance de son père, hanté par l'incident du lac. Il se questionne énormément, sur lui, ses copains, sa famille et le monde dans lequel il vit. Il adore écrire, il veut devenir écrivain d'ailleurs. C'est un personnage attachant qui nous ouvre les portes de son monde, qui est le trait d'union entre nous et ce microcosme hors de notre temps.
Le mystère du lac est une ode à l'enfance et à toutes ses découvertes, un roman noir entouré d'une aura de nostalgie, tout en émotions, mais pas tout en douceur.
peau.
C'est une critique sociale qui surnage lors de l'inondation du quartier noir, quand on sent les réticences des uns alors que les autres n'hésitent pas à apporter leur aide. C'est une réflexion sur l'humain en prise à des blocages culturels, ethniques et historiques, et dont l'évolution positive est très lente.
C'est également une période où l'Église utilise sa grande influence pour diriger ses ouailles, leur dicter leur conduite, leur manière de vivre, de penser, au travers de sermons fanatiques et enlevés. J'ai adoré les scènes religieuses avec la folie du pasteur – DJ diabolique sur danse de singe, ou encore l'attaque des guêpes… L'auteur glisse ainsi subtilement une vision satirique de la religion qui apporte une note humoristique très sympathique!
Les années 60 marquent également des progrès dans la distribution commerciale qui entraîne la mort des petits métiers. Cody le subit de plein fouet avec sa famille: l'argent ne tombe pas du ciel, on ne choisit pas son métier par rêve mais pour nourrir ses proches. Son père en fait les frais, encore plus durement depuis qu'il est devenu l'ombre de lui-même.
Il règne une brume de mystère mystique au dessus de ce lac… Son père en rêve, Cory voit des silhouettes, entend des appels de défunts, tout comme la Dame, une vieille femme noire, un peu sorcière qui jouera un rôle important dans la vie de Cory, notamment en lui offrant son fidèle compagnon, ce fameux vélo magique…
Cody est un témoin. Il est jeune. Il est curieux. Il est acteur aussi, parfois victime. Il fait l'apprentissage de sa future vie d'adulte quand ses amis et lui sont en butte à la violence du plus fort que soi. Il assiste, impuissant, à la déchéance de son père, hanté par l'incident du lac. Il se questionne énormément, sur lui, ses copains, sa famille et le monde dans lequel il vit. Il adore écrire, il veut devenir écrivain d'ailleurs. C'est un personnage attachant qui nous ouvre les portes de son monde, qui est le trait d'union entre nous et ce microcosme hors de notre temps.
Le mystère du lac est une ode à l'enfance et à toutes ses découvertes, un roman noir entouré d'une aura de nostalgie, tout en émotions, mais pas tout en douceur." (

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Lonsam Studio photo gay japon

Bret Easton Ellis : Les éclats 2023.

Jean Desbordes