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Affichage des articles du 2024
Jean Christophe Grangé : Le jour de cendres.
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Franck Maubert et Stéphane Manel : Bacon, éclats d'une vie
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Poppy. z. Brite : Alcool. 2004.
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I : Poppy Z. Brite. Je m’étais mis à suivre Poppy Z. Brite à ces débuts à l’époque de ces romans et nouvelles d’horreur et de fantastique (On y croise des vampires rock’n’roll homosexuels, décadents et incontrôlables, des serial killers inventifs et sadiques, des jeunes hommes paumés, des créatures fantastiques diverses, des Beatles homo…) inspirés en partie par le mouvement gothique et le "splatterpunk", terme pour geek signifiant que des écrivains complètement tarés mettent en scène des gens encore plus tarés, violents, nihilistes et amateurs d’actes de barbarie sans la moindre justification. Ses marques de fabrique étaient l'utilisation d'hommes gays comme personnages principaux, la description crue d'actes sexuels ainsi que le traitement froid et distant d'actes choquants : Âmes perdues (1992), Sang d'Encre (1993) et Le Corps exquis (1996), qui m’a particulièrement marqué. Il faudra que je fasse des publications sur ces livres pour le groupe… Née en 1...
Ventura Pons : Ami Amant. 1999.
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Le cinéaste catalan "Ventura Pons" est ici en grand forme. C'est visuellement sobre et beau et ça atteint des summums de finesse psychologique; on nage e pleine réflexion ontologique, avec cette histoire forte, crédible , émouvante mais sans lourdeur, profonde mais qui n'ennui jamais. Avec en plus l' arrière plan si beau de Barcelone. Basé sur une œuvre de Josep Mª Benet i Jornet intitulée "Testament", le film raconte l'histoire d'un professeur mature de littérature médiévale confronté au dilemme de décider à qui il va laisser en héritage son essai sur "Le livre de l'ami". et le bien-aimé." ", de Ramón Lllull. Se sentant proche de la mort à cause d'une maladie, il découvre que la personne idéale est un étudiant jeune et intelligent dont il est amoureux et qui se consacre à la prostitution masculine. Blanquerna est un roman utopiste que LLule écrivit en 1282, ou l'on suit pas à pas la vie du héros, Blaquerne, dep...
Iannis Smaragdis. : "Cavafy".1996.
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Si vous suivez depuis quelque temps mes posts dans le groupe, vous savez que j'aime bien le poète grec Contantin Cavafy. Je découvre par hasard l'existence de ce film : Alexandrie, Royaume d'Égypte, 1933. Dans l'intention de publier une étude sur la vie et l'œuvre d'un intellectuel de premier plan, un jeune biographe rend visite à CP Cavafy , un poète, journaliste et fonctionnaire grec d'Alexandrie, alité. Le jour de son 70e anniversaire, le penseur gravement malade parcourt sa biographie pour donner son approbation et, au fil de son voyage dans le passé, CP Cavafy revit peu à peu les événements marquants qui ont façonné sa vie. Ainsi le film retrace le parcours du poète grec Constantin P. Cavafy à Alexandrie et durant ses voyages en Grèce et à Constantinople. Par ses poèmes, il exprime ses amours, sa passion pour les jeunes hommes, inconciliables avec l'époque. Les critiques que j'ai pu en lire ne sont pas très bonnes mais je le regarderai certa...
Arthur J. Bressan Jr : Buddies.. 1985.
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une pépite peu connue d’Arthur Bressan. Aussi rare qu’essentiel. Plus qu’un cri d’alarme, cette histoire sensible entre un jeune gay malade du sida et un volontaire devenu son « copain » et visiteur à l’hôpital, est précieuse, dans la mesure où elle aborde le sida frontalement. En direct. Un homme gay de New York engagé dans une relation monogame, devient « buddy », volontaire pour accompagner un autre homme gay en train de mourir des suites du sida. Critique trouvé dans le site : "Voyage Ideoz" ! : Le film est centré presque exclusivement sur l’interaction entre les deux hommes dans cette chambre d’hôpital et sur le voyage qui s’opère dans le monde de Robert. Rien ne distrait inutilement l’attention. Seules les scènes en extérieur et celles introduites dans la chambre par une projection sur un magnétoscope ou grâce aux photos qui racontent le bonheur passé, nous emportent dans un ailleurs, entre fantasme et réalité et rompent la sensation claustrophobique qu’on pourrait ép...
Nicolas Chemla : L'âbime.
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Isaac Asimov : Les dieux eux-mêmes
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J.P Serpi : Linus II Le jugement dernier. Tome I : La genèse
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Suite à l’entretien littéraire que J.P Serpi a eu la gentillesse de m’accorder, la chronique de son roman "Linus II, Le jugement dernier. Tome I : La genèse". J P Serpi : Linus II jugement dernier. Tome 1. La genèse. Aux éditions Nombre 7 Dès le début de notre entrevue Jean Philippe Serpi donne l’impression d’un homme passionné, aux multiples centres d’intérêts : Le modélisme, l’astronomie, le théâtre (il est comédien amateur), la musique (il anime un club de danse country et de Line danse) … Et, bien-entendu, la littérature : J.P. Serpi a toujours aimé raconter des histoires : À 10 ans, m’explique-t-il, il écrivait déjà de scénarios de B.D inspirés entre autres par la série de film Disney sur la « coccinelle » (dont le premier opus un amour de coccinelle date de 1968 l’avait fortement impressionné), et l’écriture romancée arriva chez lui également très tôt, dès ces 17 ans. Dans les années 70 il réfléchit à ce qu’il a envie d’écrire, puis, dans les années 80, il esquisse le...
Andrew Whiston (WIZ) : Baby. Courtmétrage. 2000.
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Si vous vous promenez un )eu dans e fil du groupe vous savez déjà que "Ben Whishaw" est l'un de mes petits chéris. Je reviens à lui à propos de "Baby" Court métrage anglais de 12 minutes réalisé par Andrew Whiston (qui se nomme maintenant WIZ), en 2000. Baby, une représentation fascinante de l’anxiété sexuelle des adolescents, trouvera un écho auprès de tous ceux qui se souviennent d’avoir été un adolescent obsédé par le sexe. Dans cet exemple précoce de son goût audacieux pour les rôles d’acteur, Ben Whishaw joue un adolescent lunatique qui se souvient d’une visite chargée de sexualité dans une piscine. Les plongeurs musclés et les rencontres nues sous la douche attirent son attention… mais est-il également attiré par les baigneuses ? (Festival du court-métrage de Prague). Donc, c'est un court qui vous "plonge" dans la tête d'un adolescent, qui est assez obsédé par le sexe. Ce qui et assez courant à cet âge là.... Mais c'est fait avec...
François Calvia : Le dernier des Serra. 2024.
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Suite à l'entretien littéraire que François Calvia, a eu la gentillesse de m'accorder, je vous propose ma chronique littéraire sur son roman de "le dernier des Serra" (2024. éditions Maïa). François Calvia : Le dernier des Serra. D’origine Corse, François Calvia, diplômé de l'université Sorbonne Paris Nord a occupé des fonctions à la mairie de Valence, à la préfecture de région Corse et au ministère de l'Intérieur. Il a abandonné l'administration pour devenir antiquaire-décorateur dans le sud de la France, puis promoteur immobilier aux Antilles. Il partage maintenant son temps entre l'île Maurice et Nice. Il m’explique : « Je suis gay et je milite à travers les associations LGBT que ce soit à Maurice « Arc en ciel » ou à Nice « Polychromes ». D’ailleurs dans le cadre de la 17 édition de ZEFESTIVAL (qui célèbre la diversité des genres et des sexualités au cinéma et dans toutes les autres formes d’art) à Nice, il est invité à participer à un Queer Book...
Michel Connelly : l' Étoile du désert
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Éric Fouassier : Le bureau des affaires occultes.
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Headline et Semerano : Midi Minuit
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Stephan Lambert : Fraternelle mélancolie
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Jean -Christophe Grangé : Rouge Karma
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Brigitte Aubert : La ville des serpents d'eau.
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michael cunningham : snow queen
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Avec toute la grâce et la subtilité qu'on lui connaît, Michael Cunningham nous offre une nouvelle plongée dans le New York des âmes perdues, l'histoire poignante d'hommes et de femmes en quête de transcendance, à travers l'amour et l'art. Un soir de novembre, alors qu'en pleine déprime amoureuse il traverse Central Park, Barrett est témoin d'une lumière mystérieuse, un moment fugace de beauté pure, un instant suspendu, comme si quelqu'un, quelque part, le regardait avec bienveillance. Une lumière qui lui évoque son frère, Tyler, cocaïnomane, musicien talentueux qui n'a jamais percé ; Beth, la fiancée de Tyler, qui se meurt d'un cancer ; Liz, leur amie commune, leur presque mère. Une lumière qui illumine aussi ses propres failles, ses ambitions ratées, ses amours déçues. Une lumière comme une manifestation du sublime. Comme l'amour qui, malgré tout, unit ces êtres blessés. Ou le rappel que, si le temps passe et les rêves aussi, reste la t...
Silvia Brunelli : "Comme par miracle" (la santa piccola). 2021. Comédie dramatique et légèrement fantastique.
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![Image](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgDG0RbvmjAYCCmfTeGlm68WDsp5dwOd5PJGtaEQC7agk4zxXGjG24aJcCvX4TrNAmTguiPO8W99XPmMJu3MPEHekgvSrfzJfw6pRFMw8vbosakpzL7UZkcvSxYH4FiwYMUxttERzeOdlYv2ajx8erGi2dSOOGQW_i_fhiCYJJsCXxiaq1OqhfWhn4lQZaz/s400/440876875_10230274109267995_4139911853042740258_n.jpg)
Je vous en avez brièvement parlé après l'avoir vu au festival "in and out" de Nice mais voici, comme promis un compte rendu critique plus complet : Le film se déroule sous le soleil de Naples, où Mario et Lino, amis inséparables, vivent des journées qui se succèdent de la même manière au milieu de difficultés familiales, sentimentales et professionnelles. Tout change lorsque la petite sœur de Lino, Annaluce, commence à faire des miracles, étant reconnue comme la patronne du quartier. La première œuvre de Silvia Brunelli, tirée du livre du même nom de Vincenzo Restivo, raconte, à côté d'une histoire de miracles et de sainteté, un voyage de découverte sentimentale-érotique entre deux amis. Paolo Sorrentino, lauréat du Lion d'Argent au 78e Festival du Film de Venise à dit à cette occasion : "Naples est une ville de promiscuité : On y trouve de tout : de l'érotisme, de la beauté, du sacré et du profane" Silvia Brunelli semble pleinement adhérer à cette...
john Greyson : Lilies. 1996.
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![Image](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBJfGrbCZfzcu3GCVQ9mHJrPcYJyJ2eN48LbmZo76mpv2jHE_K6MO404wyEMJ2SpxbVLoJ8rWrFkR1BTMbgYQxUvmg5WDpMW_lMWdZxuFoifZYT9ShCUZOZxD6yPu40m-cFuPLM3VVN048P0UqskVvFFWLlYbPUciwCQUhXPwzP-cW7b09UurwJv_l80nA/s400/Lilies-dvd.jpg)
Tout d'abord avec la présentation que nous en avais faite Claude Chappe en Mai 2023 : Un évêque se retrouve obligé de regarder une pièce de théâtre jouée par les prisonnier de la prison qu’il visite. Les prisonniers veulent rendre justice. C’est le drame caché de l’évêque qui se joue sous ses yeux : une petite communauté de Français, des aristocrates, s‘est établie dans un coin reculé du Canada (ou e la "Nouvelle-France") et deux jeunes garçons tombent amoureux l’un de l’autre. Un troisième jeune homme très religieux (notre futur évêque), jaloux, dévot, va tout faire et ira très loin pour contrarier leur amour. Les conventions de la représentation sont poussées au maximum : il y a une pièce de théâtre dans une pièce dans une autre pièce. C’est brillant. Et joussif. Et voici ce que j'en avais écrit à sa sortie, lorsque je l'avais vu au festival de ciné Gay de Bruxelles : Ce que l'on remarque immédiatement dans Lilies, c'est son côté créatif. On ne saurai...
"Brian J Smith
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henrxy
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. Acteur américain, né en 1981 à Dallas au Texas. Diplômé du prestigieux conservatoire « Juilliard School » où il est entré à 21 ans pour y suivre un cursus en Arts Dramatique sur quatre ans (promotion 2003), il a commencé sa carrière d’acteur dès l’âge de 23 ans dans « Hate Crime » (2005), film indépendant présenté à plusieurs festivals de films gays et lesbiens à travers les États-Unis où il incarne Trey, un jeune homme gay qui doit faire face à l’intolérance du fils d’un prêtre fondamentaliste. Il interprète encore un personnage gay dans son deuxième film « The war boys » en 2009 : Trois jeunes parcourent la frontière mexicaine, prêt à chasser tout illégaux tentant de traverser.... Mais ils vont rapidement apprendre qu'il existe d'autres frontières, entre eux et chacun d'entre eux qu'il va leur falloir franchir.... Il est surtout connu du grand public pour avoir tenu les rôles du lieutenant Matthew Scott dans la série « Stargate Universe » et celui du policier Will ...
Arnaldur Indriðason : Les Fantômes de Reykjavik. 2018.
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Arnaldur Indriðason : ce e savait la nuit. 2017
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Mark Hodder : Burton et Swinburne : l'étrange aventure de Spring Heeled Jack. 2010.
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Edgar Morin : le cinéma ou l'homme imaginaire
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« LES BELLES CREATURES » ( beautiful beings) film dramatique Islandais de " Gudmundur Arnar Gudmundsson". 2022.
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J’en parle ici puisque le l’ai vu au festival « in and Out » de Nice, cependant je n’y ai personnellement pas vu grand-chose de vraiment lGBT. Peut-être le fait que les héros vont essayer d’aller à l’encontre du comportement normatif hétéro machiste dans lequel ils baignent au début de l’histoire… Bon il y a des deux protagonistes qui est peut-être gay, de la tendresse entre garçons.... Vous me direz ce que vous en pensez. Addi, fait partie d’un groupe d’amis, avec Siggi, dont le leader Konni se retrouve menacé par le petit ami d’une fille de 17 ans qu’il a embrassée en douce. Addi, dont la mère est diseuse de bonne aventure, décide d'accueillir dans leur groupe, un garçon inadapté Balli, 14 ans pourtant au départ victime de harcèlement au sein de sa bande de parias, qui vit avec sa mère toxicomane dans une maison sordide et dont le beau-père, qui « pensait que « l’arme n’était pas chargée », lui a laissé un œil de verre. Livrés à eux-mêmes, les garçons explorent l'agressivité...
"Yukio Mishima" : Confessions d’un masque. 1949.
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Dans l’intimité de sa chambre, un jeune garçon s’éveille au désir en parcourant les pages d’un livre d’art. Obsédé par la beauté stupéfiante du corps nu, ligoté et mordu de flèches de saint Sébastien, il laisse libre cours à ses rêveries cruelles où l’objet de son fantasme est torturé, tué, dévoré. Dans la rue, il est attiré par les matelots et les petits voyous, et à l’école par un charismatique camarade de classe dont l’assurance et le charme le subjuguent. Prenant peu à peu conscience de son attirance sexuelle pour les hommes, il tente de réprimer ses pulsions et se fabrique un masque social qu’il porte chaque jour aux yeux du monde. De l’enfance à l’âge adulte, il tentera à tout prix de se conformer à ce qu’il croit être la norme du désir. Mais cette comédie conventionnelle de l’hétérosexualité ne saurait le duper éternellement, et pour ne pas trahir plus longtemps son être profond, il devra trouver la force de regarder en face cette attirance qui le consume, et apprendre, enfin...
Dome Karukoski : Tom of Findland. 2017
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henrxy
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Etrange mais bon film que ce "Tom of Finland" par le contraste qui apparaît à l'écran entre un auteur et son œuvre Dans ce sens, c'est déjà une petite réussite même s'il semble que certains éléments de sa vie ont été un peu transformés. De "Tom of Finland" je ne connaissais que les dessins de ces hommes hyper virils aux muscles saillants, aux organes profondément hypertrophiés placés dans des contextes ou positions pour le moins érotiques. Reflets exacerbés de fantasmes d'un artiste gay où fétichisme (cuir, uniforme….) et virilité sont de mise et ont véhiculé (pendant les années 70/80) une idée faussée de l'homosexualité à l'image, par exemple, du groupe Village People pur avatar de cette culture. L'oeuvre de "Touko Valio Laaksone" est ancrée honorablement dans la culture LGTB et est reconnue à travers le monde. La réalisation de Dome Karukoski quant à elle, se veut très sage et donne l'impression d'une réhabilitatio...