"The Way Out" est un thriller psychologique de de Barry Jay. 2022.
Parfois il est classé en film d'horreur ?
Le film suit «Alex», un jeune boxeur qui survit à un passé d'abus et de brimades en raison de son orientation sexuelle. Après la mort de son père violent et qui a abusé de lui, Alex tente de reconstruire sa vie en arrêtant de se droguer. et en essayant de trouver un travail honnête, mais l'obsession et la dépression le hantent encore.
Tout commence à changer quand il rencontre Shane, un homme mystérieux qui devient une sorte de mentor : il lui propose de l'entraîner pour qu'il devienne plus fort - à la fois physiquement et mentalement.
Mais le lien entre eux devient progressivement compliqué, mélangeant le désir et le contrôle, aux côtés sombres et non résolus du passé.
Je n'ai pas vu le film. Donc pas de critique personnelle.
Apparemment la guérison pour le héros passe non seulement par un voyage vers la renaissance, mais aussi par une confrontation avec l'ego, le besoin de pardon et la nécessité d'être aimé dans un monde dur.
Le film, semble t-il, se distingue par son atmosphère tendue, son rythme lent mais profond, et le message sur la force intérieure et le courage pour surmonter les préjugés et les traumatismes mentaux.
On le qualifie de sombre et psychologique, combinant action, arts martiaux et introspection...
Si quelqu'un arrive à le voir on attend avec impatience son avis...
#henrimesquida #cinemaetlitteraturegay
Pedro Almodovar parlant de Gabriel Garcia Bernal dans "la mauvaise éducation".
Pedro Almodóvar, évoquant dans une interview la difficulté de trouver l'acteur principal pour « La Mauvaise Éducation ». dans Fotogramas Magazine en mars 2004. "Eduardo Noriega avait un très beau visage, mais il semblait trop masculin. L'avantage de Gael (García Bernal) est qu'en plus d'être beau, il est aussi petit. Gael est l'une des personnes les plus photogéniques que je connaisse. J'ai étudié son visage dans les moindres détails et j'ai découvert qu'il avait un côté plus rude et un autre plus féminin, selon l'angle d'approche. Et cette asymétrie fonctionnait bien avec son personnage d'homme femme". Henri Mesquida pour le groupe Facebook "cinema et littérature gay"
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